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24/08/2011

Coup de gueule... contre les restaurants qui se croient tout permis parce qu'ils ont un emplacement sympa...

Il y a quelques jours comme notre puce était chez ses grands parents, nous avions enfin une soirée entre amoureux. Il fait chaud. Nous décidons de faire un tour en vélo qui nous amène à Lyon à l'Ile Barbe. A coté, un restaurant sur un ponton : le buldo. Il y a encore de la place. On nous installe auprès de la caisse. Toute la soirée on bénéficiera de la discussion entre les serveurs... Des petits jeunes sympas et souriant mais pas très compétents, l'un a failli nous renverser le plat dessus.

Mais cela n'est rien à coté de ce qui nous attend dans notre assiette... Un plus : les olives, petits gâteaux nous attendent sur la table. Mais pour le menu, c'est pas çà... Après une entrée dont la fraîcheur et la qualité laisse à désirer (la mozerella de 1er prix et les tomates type Liddl c'est pas génial comme gout), mais le pire c'est le plat principal (à 19 € à la carte quand même) = 2 malheureuses petites sardines (-de 10 cm de long) nous sont servies dans une papillote 1/2 pomme de terre sans aucunes épices, ni préparation... quelques haricots, des carottes, bref un plat principal en dessous de tout, le dessert est correct mais tout cela pour 32 € par personne, une carafe de Bordeaux (Perey 46 cl à 19 €) qui est franchement mauvais.

Bref 83 € pour 2, c'est ok quand vous mangez bien mais pour manger de la nourriture de restauroute non merci...

Cerise sur le gâteau, le lendemain nous noterons que la carte bleue  a été débitée de  93€... Ils vont nous envoyer un chèque puisque nous avons gardé la note... mais cela ne nous remboursera pas notre soirée décevante et nous a laissé un gout amer.

22:21 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0)

23/08/2011

Les Paradisiaques de Pascal Quignard

Le retour de vacances est propice à la lecture… et aux notes de lecture. Par contre cela fait 3 fois que je rédige ma note sur Les Paradisiaques de P. Quignard. 2 fois, une fausse manipulation me l’a annulée… espérons que cela sera la bonne.

J’avais adoré « Villa Amalia »et beaucoup aimé « Tous les matins du Monde », je m’étais donc dit qu’un roman de P Quignard dans mes bagages de vacances serait un vrai bonheur… Et bien j’ai du déchanter. Les Paradisiaques sont le tome 4 d’une série (je n’avais vu cela en le prenant à la bibliothèque)… mais je ne vais pas lire les 3 précédents. C’est une succession de notes / chapitres. C’est très érudit. Il y a des références à Courbet, à la mythologie, à l’histoire de saint(e)s catholiques… L’auteur nous fait part de ses réflexions sur le désir, le sexe, … sur l’incapacité à bien connaitre / reconnaitre les gens que l’on aime…

D’après ce lien, c’est très bien fait. D’après celui-ci, c’est du verbiage…

Je pencherai pour la seconde version. La prochaine fois que je prends un Quignard, je serai plus sélective.

14/08/2011

Côme de Srdjan Valjarevic

Décidément je fais dans l’ex Yougoslavie en ce moment. Après la Femme du Tigre, c’est le second roman écrit par un Serbe que je lis cette année. Je l’avais choisi en consultant le programme des AIR. Je vous le recommande ce programme. Il m’a permit de découvrir un grand nombre d’auteurs et de livres.

Enfin revenons à "Côme" j’ai beaucoup aimé cette écriture tout en souplesse. C’est un livre où il ne se passe pas grand-chose mais il vous emméne… Ecrit comme cela, je ne risque pas de donner envie mais comment vous expliquer?

L’histoire est assez simple. Le narrateur est invité par la fondation Rockefeller à passer un mois dans une villa afin d'écrire un roman. Cette villa, située près de Côme, reçoit des gens célèbres et d’autres moins. Ce narrateur nous décrit son séjour en évoquant ses rencontres avec les autres invités de la villa et avec les habitants du village de Côme. Deux mondes qui s’ignorent puisque l’accès de la villa est très fermé. Il parle de ses balades, de ses repas, de ces petits riens, qui sont si importants. Des petits rien que l’on sait peut être davantage apprécier lorsque l’on vient d’un pays en guerre. Alcoolique, il évoque par de brèves touches son passé et sa vie à Belgrade. On ne saura rien de précis mais cela semble oppressant. Cette parenthèse à Côme semble lui redonner gout à la vie et dans tous les cas le remet au contact de ses semblables.

L’ambiance, les rencontres, les descriptions, la langue, les personnages, tout cela vous entraine et vous tient jusqu’au bout de ce roman. On a envie d’en savoir plus sur le narrateur… que lui est il arrivé en Serbie? Que advient il de lui à son retour ? On se pose aussi des questions sur les autres personnages mais on ne saura rien. En tout cas lorsque j’ai refermé ce livre… j’avais bien envie d’y aller sur cette colline et de voir cet aigle.


La 1ère phrase : "C'était mardi, début novembre, la journée était chaude et ensoleillée, et je ne savais pas exactement où j'étais, je ne savais alors rien sur rien."

13/08/2011

le marchand de sable va passer d’Andrew Pyper et autres pensées peu profondes

De retour de vacances, honte sur moi, je n’ai pas écrit une seule note. Il va me falloir les rédiger maintenant. Aux 4 prévues avant mon départ, j’en ai deux à ajouter. C’est une première. Rarement j’aurai aussi peu lu pendant mes vacances. Je me suis posée la question du pourquoi de cette absence de lecture… J’ai trouvé les raisons suivantes :

-        un enfant de 2 ans et du vélo tous les jours ne sont pas favorables à une lecture intense
-        une overdose de lecture les mois passés dont des livres qui ne m’ont vraiment pas enthousiasmés. Je les ai lus car je m’étais engagée mais le cœur n’y était pas.
-        les livres que j’avais pris avec moi étaient des livres très sérieux, difficiles d’abord et donc peu propices à la détente… cela n’a pas aidé… Je préférai faire des mots croisés, cela me semblait plus facile.

Enfin il me faut maintenant rédiger toutes les notes en retard commençons par celle que je me suis engagée à faire avant le 16 aout dans le cadre du partenariat de News Book et Points que je remercie encore de leur envoi du livre  de Andrew Pyper « le marchand de sable va passer ».

Avant toute chose, il me faut vous dire, que j’ai été une fana de polards pendant des années. Ma bibliothèque contient des centaines de policiers en Français, Anglais, Allemands et même quelques Norvégiens et Italiens. Et oui pour moi, les policiers ont toujours été une excellente façon d’améliorer mes langues sans trop me fatiguer… Il faut avouer que le vocabulaire y est souvent simple. J’ai une faiblesse pour les écrivaines… je trouve leurs romans plus fins, moins brutus, parfois moins sanguinolent. Mais je ne suis pas sectaire, un bon Connelly ou Mankell  faisait aussi l’affaire. J’ai du lire tous les Agatha Christie. Pendant des années, j’achetais les derniers Highsmith et autre maitresses Anglaises ou Américaines en version originale pour les lire plus vite. Pendant mon MBA, c’étaient les seuls livres que je pouvais lire… Et puis, je ne sais pourquoi une certaine lassitude s’est faite. Peu à peu, j’ai laissé tomber… J’ai remplacé par des romans. Tout cela pour dire que « le marchand de sable va passer » d’Andrew Pyper était le premier polard que j’ai lu depuis une éternité.

L’histoire commence avec la disparition d’un enfant dont on peut craindre le pire. Puis on découvre la genèse de cet enlèvement. Le père (Patrick Rush) est le narrateur du livre, est il victime ou coupable, on ne sait pas, on hésite et même lui ne semble pas toujours très bien savoir où il en est. On découvre peu à peu que l’on a sans doute à faire à un tueur en série et que ce tueur serait lié à un cercle de lecture dont Patrick a fait parti. Mais le coupable n’est pas toujours celui auquel on pense… Voilà pour l’histoire qui se passe au Canada. Je ne vais pas plus loin pour ne pas vous enlever du suspens.

Patrick Rush est un personnage ambigu. Il est veuf et ne se remet pas de la mort de sa femme. Son seul point d’ancrage est son fils. Il boit beaucoup, il a une vie sociale inexistante. Il se raccroche à une envie d’écrire qu’il a abandonné avant de réussir à écrire un best seller en partie grâce à ce cercle de lecture… mais peut être pas de la façon la plus honnête au monde. Ce best seller va le rendre riche mais aussi va être la source de tous ses ennuis.

Ce roman n’est pas un polard typique, il mélange des aspects fantaisy, thriller / horreur qui personnellement ne me parlent pas trop. J’ai passé un bon moment mais je n’ai pas vraiment cru à cette histoire. Cela fera certainement un bon film mais si vous êtes fan de polard, vous resterez sur votre faim. Peut être faut il plutôt s'intéresser aux thrillers et là vous y trouverez votre compte? Qui sait? Dans tous les cas, c'est un roman d'été, cela détend.

Voici la 1ère phrase : " Je ne savais pas mon fils capable de se repérer la nuit à l'aide des étoiles."


Merci encore à News Book et Points pour ce livre.

12/08/2011

Journal de vacances suite et fin

Depuis la dernières note, nous avons fini notre séjour péniche vélo aux Pays Bas. Nous avons passé une semaine en Belgique à De Haan ( le Coq) et après 2 jours à Rouen où j'ai laissé la puce et le kjaereste me voilà dans le train pour Lyon.

Bilan de ces vacances: plus de 300 km de vélo avec un temps qui n'a pas toujours été au rendez vous mais à part 2 ou 3 jours où la pluie tombait à seau, nous avons eu de la chance et du soleil. Tiphaine a découvert la plage, le sable, la mer, elle s'est baignée les pieds dans la mer du nord. Le kjaereste a fait du vélo et a bien aimé ces grands balades le long des canaux tant en Belgique, qu'aux NL même si le dos a souffert. Nous avons passé de très bons moments en famille. Nous avons bien envie de repartir avec une telle formule l'an prochain. Nous avons beaucoup aimé l'organisation du voyage je vous recommande cela s'appelle cycletours. Ils ont des voyages dans différents pays dont un qui passe par Venise qui me tente bien pour l'an prochain...

Coté lecture par contre le bilan est maigre.... Seulement 2 livres à mon actif. Les paradisiaques de Pascal Quignard et Nous au Japon d'un illustre inconnu. J'en ai 2 en cours mais rien qui ne m'ait vraiment donné envie... Peut être ai je fait une cure... Par contre j'ai passé énormément de temps à faire des mots croisés. 

18:50 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)

11/08/2011

Journal de vacances

Il me reste quelques livres dont les notes sont en suspens. Mais nous voila partis depuis plus d'une semaine et je n'ai ni trouvé le temps de les écrire ni vraiment celui de lire. Il faut dire que nous avons fait près de 900 km pour rejoindre les Pays Bas. Nous sommes passés par la Belgique où nous avons dormi à Louvain La Jeune. A moins d'être un passionné de Tintin ou plutôt de Hergé (car c'est de lui dont il s'agit principalement) je ne recommande pas la visite du musée qui ne présente que peu d'intérêt, sauf l'architecture du bâtiment qui est très sympa. 

Le lendemain nous avons atteint la cote néerlandaise, plus précisément Sceveningen, 3 étoiles pour Michelin. Il faisait beau et nous avons pu diner le soir... Rien d'extraordinaire me direz vous, sauf qu'en ce moment l'été Européen est plutôt automnal si vous voyez ce que je veux dire... Dans cette station balnéaire très bétonnée, nous avons visité un aquarium qui a beaucoup plu à Tiphaine. 

Puis nous avons passé 2 jours à Delft. Très jolie petite ville avec des canaux partout. C'était un séjour très agréable, avec un très bon restaurant "De Vis" sur la bestenplass. 

Ensuite sejour au depart de Stavoren sur une péniche. Les deux premiers jours il a plu des cordes mais nous avons quand même fait 9 km de vélo avec un vent à décorner des boeufs. Lundi et mardi 50 et 60 km sur l'ile de textel. Le temps n'est pas génial mais au moins on peut faire du vélo et se balader. Tiphaine adore il y a des moutons, des chevaux, des vaches, des mouettes,... Elle dort aussi dans la carriole. Elle a un peu de fièvre depuis 2 jours mais aujourd'hui elle a mangé comme un ogre et avait l'air en forme donc nous attendons pour voir... 

Bref comme vous le comprendrez, pas trop le temps de lire ou même de rédiger des notes...

18:48 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)

17/07/2011

Point lectures

Je suis en retard....

Et oui il me faut chroniquer:

- Sous la dictée des choses, recueil de nouvelles reçu par la FNAC

- Côme pris à la bibliothèque roman Serbe

- le marchand de sable, thriller reçu grâce à News Book

J'avoue avoir la flemme, pourtant il pleut c'est une excellente occupation... Mais je dois aussi faire les bagages car nous partons dans 2 jours direction les Pays Bas où la météo n'est franchement pas réjouissante... Tant pis, on fera les musées.



11/07/2011

Les ailes de l'ange de Jenny Wingfield

Un livre lu grâce à Belfond et News Book, merci à eux. 

Si je peux me permettre une comparaison culinaire, « Les ailes de l’ange » c’est un peu comme la purée de ma mère. Quoi de plus banal qu’une purée de pomme de terre…. Oui mais voilà une purée avec des vraies pommes de terre, des bonnes, du lait, du beurre salé et des épices… et bien c’est du bonheur…

Donc nous voilà face à un livre qui ne va pas révolutionner la littérature mais n’empêche qu’il est drôlement prenant. Cette histoire vous tient en haleine et vous n’avez pas envie de quitter les familles Moses et Lake. D’ailleurs je l’ai lâché seulement à 1h du matin hier après avoir lu le mot fin. Cela peut être un roman très agréable pour vos vacances. Mais attention bien que ce soit un roman plein de bons sentiments, ce n’est pas à l’eau de rose.

Je ne vous raconte pas l’histoire, le 4ème de couverture est explicite. Par contre je vous parlerais bien de ces personnages, à la fois caricaturaux mais en même temps si attachants et bien réussis par J…. Il y a les enfants Swan et Blade par qui tout va arriver mais surtout ces adultes qui se débattent entre foi, vie et les horreurs de la vie. J’ai beaucoup aimé Toy. Cet homme blessé pendant la guerre et qui malgré les déceptions, les blessures, les trahisons va faire face et petit à petit s’ouvrir aux autres.

Merci encore à Belfond et au blog News Book. http://newsbook.fr/

10/07/2011

So long Luise de Céline Minard

Un livre lu dans le cadre du prix roman FNAC

 

Je pense que j’aurais dû abandonner ce livre dès la première phrase.

 

« J’ai choisi cet hôtel pour la multitude de libellules déprimées qui baguenaudent autour des piliers entre les roseaux – bleu Porshe, ahanant du coffre avec une pulsation de métronome, pour ses trompettes aussi, qui poussent en paillasse dans les bois, pour le blé à tige bleue, à tête d’or, qui nappe la colline au loin jusqu’aux premiers jours d’aout, et parce que j’apprécie, quand j’arrive à faire les six cent pas quotidiens qui me sont prescrits, de croiser un tapis de cinq fleurs de petits liseron posé sur un bout de ravine sèche à coté d’une merde fraiche. »

 

Pour l’instant je n’accroche pas du tout au style de C. Minard.

 

Quelle lourdeur. Les phrases sont longues (mais pas toujours), parsemées de mots d’Anglais, (que je comprends mais quid du lecteur lambda français ?)

 

J’ai parcouru 50 pages et j’ai encore du mal à comprendre qui est qui dans cette histoire…

 

Bon il m’en reste 150 pour comprendre. La narratrice, écrivain, semble être à la veille de mourir et raconte les choix de son testament ainsi que ses souvenirs. Il est question de pêche, de sexe, et d’une certaine Luise. J’avoue que j’ai également du mal à savoir si cette narratrice est un homme ou une femme. C’est sans doute dû à la version non corrigée du livre qui contient des coquilles et où les adjectifs / participes sont parfois accordés pour une femme, parfois pour un homme ou bien est-ce une ambigüité de plus de l’auteur ? Je pencherais néanmoins pour une femme.

 

Ayant fini ce livre depuis quelques semaines, je reprends mes notes… et quoi dire de plus… Les 100 dernières pages sont plus fluides, plus aisées à comprendre. Il y est question d’esprits, de contes scandinaves, germaniques…


L’auteur fait preuve de beaucoup d’érudition, trop ? En tout cas elle risque fort de perdre ses lecteurs.


Personnellement je n’ai pas envie de continuer à lire Mme Minard

Merci quand même à la Fnac et à Denoel.

09/07/2011

Le lecteur inconstant suivi de vie du corbeau blanc

Dans le cadre du prix du roman de la Fnac, j’ai reçu le dernier ouvrage de Liscano. J’ai déjà parlé de cet auteur ici.

 

Ce livre est composé de deux parties. J’ai beaucoup aimé la première tandis que la suivante m’a laissée indifférente. La première partie est une sorte de genèse de comment cet homme est devenu écrivain et comment l’écriture lui a la fois sauvé la vie et en même temps l’a transformé voire même paradoxalement emprisonné…  Bien que cela ne soit pas toujours simple à suivre, j’ai trouvé cette « confession » assez extraordinaire. L’auteur décrit comment la certitude d’être un écrivain (alors que ce n’était ni son métier, ni son rêve) lui a permis de devenir un autre et donc d’échapper à sa condition de prisonnier. C’est très beau, très humble, … bref à lire

 

La deuxième partie « Le corbeau blanc » est un conte qui bien entendu fait référence à la vie de l’auteur qui toute sa vie post prison se sentira différent, marqué, … Ce sont des exercices de style  pour rendre hommage à de grands auteurs et j’avoue que cela n’a pas très bien marché sur moi. Je comprends (en partie) l’allégorie et l’aspect symbolique mais je ne marche pas.

 

En conclusion, ce n’est pas le roman de l’été que je choisirais mais la première partie est vraiment à découvrir pour qui aime la littérature et vaut comprendre la naissance d’un écrivain. Si vous aimez Kertesz alors vous devez lire la première partie, ces deux auteurs ont des expériences similaires d’écriture toute à la fois salvatrice mais aussi asservissante. 

 

Merci encore à La Fnac mais aussi aux Editions Belfond

1ère phrase: " il y a entre lui et moi un dialogue qui se répète."