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02/12/2011

Le gout des pépins de pommes. Katharina Hagena

Me revoilà après plusieurs semaines d’absence.

Ma liste de livre lue  a augmenté mais comme je suis en train de lire avec grand intérêt la série de Jean Auel, ma note portera sur la série complète (6 tomes !)… cela facilitera ma reprise en main de ce blog.

Je vais commencer par le gout des pépins de pomme de Katharina Hagena

C’est un livre nostalgique que j’ai lu il y a déjà plusieurs mois. Cette note est donc faite de souvenirs. C’est tout dans l’air de ce livre.

Il commence par un enterrement.

 2 générations de femmes se retrouvent face à la mort de la matriarche.  L’unique petite fille hérite la maison de sa grand-mère. Elle s’y rend pour ranger cette maison avant de la vendre. Pendant ce séjour, elle va revivre et nous faire découvrir l’histoire de sa famille. Une famille allemande qui a subit les affres de la guerre. Avec un grand père peut être moins bien que ce que l’on pouvait penser et une grand-mère qui avait également ses ombres.

Il y est également beaucoup questions de réminiscence, de mémoire et de sa perte. En effet la grand-mère souffrait de la maladie d’Alzheimer. Mais il y a aussi un drame qui lit toutes ses femmes et qui va petit à petit émerger du récit.

C’est un roman sur le temps qui passe, sur la perception qui évolue dans le temps, sur les souvenirs et leurs perceptions. C’est doux amer. C’est une saga familiale racontée d’une voix. Ma seule critique serait que la fin n’était pas nécessaire mais je n’en dirai pas plus pour ne pas dévoiler le mystère.

C’est un 1er livre d’une Allemande : Katharina Hagena.  Son écriture est agréable, à la fois imagée et gouteuse si je peux me permettre dans le sens où elle nous transmet de nombreuses sensations (gout, odeur, couleurs) avec des descriptions heureuses et sensuelles.

J'aimais lire et manger en même temps (...). C'était merveilleux les histoires d'amour avec une portion de gouda, les récits d'aventures avec du chocolat aux noisettes, les drames familiaux avec du muesli, les contes de fées avec des caramels mous, les romans de chevalerie avec des cookies...

09/01/2011

Le retour de B Schlink

Est ce que j'ai aimé ce livre?

Inodore, incolore, ... Un peu comme le personnage principal qui n'arrive pas à prendre de décision.

C'est vrai qu'après les Bienveillantes de J Littel, il fait pale figure.

C'est l'histoire d'un homme qui peu à peu va découvrir qui est son vrai père grace à un roman de gare. Dans sa quête il se trouve confronté à l'histoire de l'Allemagne (après, pendant la seconde guerre mondiale mais aussi la chute du mur, la réunification) la sienne, celle de sa mère et bien sur celle de son père. Il ya des disgressions littéraires (Ulysse), juridiques, psychologiques (le bien, le mal).

Bref c'est un peu indigeste et surement pas aussi bon que le liseur qui était vraiment un bon roman.

22/06/2007

Marathon kilometre 3: 2004 Elfriede Jelinek

En 2004, Elfriede Jelinek, Autrichienne, a eu le prix Nobel de litterature

 «pour le flot musical de voix et contre-voix dans ses romans et ses drames qui dévoilent avec une exceptionnelle passion langagière l'absurdité et le pouvoir autoritaire des clichés sociaux».

 Bon j'ai commencé "La pianiste" mais je l'ai oublié chez mon coiffeur. Donc il va falloir attendre un peu pour en savoir plus. Au premier abord, un roman etouffant, une relation mére - fille derangeante.

En attendant je suis passée au kilometre 4