13/06/2013
Hallucinations de Oliver Sacks
"When the word "hallucination" first came into use, in the early sixteenth century, it denoted only a "wandering mind."
Bien que cela ne soit pas un roman mais un livre de souvenirs et d’explorations sur certains phénomènes neurologiques, j’avoue avoir parcouru cet ouvrage comme un romain. L’auteur a écrit (entre autre) « L’homme qui prenait sa femme pour un chapeau » que j’avais également trouvé passionnant. Il faut reconnaitre aux Américains une capacité pédagogique et de suspens très impressionnante.
Le titre est self explanatory, l’auteur explore et explique le fonctionnement du cerveau pouvant mener à diverses hallucinations (visuelles, olfactives, auditives) sensorielles. Il est question de personnes aveugles ou mal voyantes qui « voient » des scènes, des personnes, de malentendants écoutant / entendant de la musique. Certaines des personnes ayant ces hallucinations sont conscientes que ce sont des visions pour d’autres cela peut être plus complexe. L’auteur fait un distinguo clair entre ces hallucinations et la maladie mentale.
L’auteur nous narre certaines de ses expériences avec le LSD et autres psychotropes avant leur interdiction. Son objectif de départ étant d’observer l’impact sur son cerveau. Il raconte l’addiction et ses effets.
Une des parties traite de l’épilepsie et du rôle joué par les hallucinations, de l’impact des hallucinations dans l’art ainsi que celui des drogues.
Une autre partie explique les hallucinations menant les gens à croire en un dieu. Une de ses patientes a ainsi changé cinq fois de religions ! Comme quoi on peut être comme saint Thomas et se tromper !
Il est question des sensations de « déjà vu » et également des gens qui ont perdu un membre et de cette sensation / douleur qui reste. J’ai été intéressée de lire que cette fois c’est le cerveau qui pouvait avoir l’hallucination d’un membre et ne plus avoir de douleurs.
J’ai adoré ce livre. Je vous le conseille si vous voulez en savoir plus sur ce qui se passe dans votre tête.
18:51 Publié dans littérature Anglophone, Livres | Lien permanent | Commentaires (0)
11/06/2013
Wonder de R. J. Palacio
"I know I am not an ordinary ten-year-old kit"
August est un jeune garçon atteint de plusieurs difformités faciales qui lui rendent la vie difficile. Il a du mal à manger, à entendre. Une sorte d’Elephant Man. Il mène une vie relativement protégée auprès de ses parents et de sa sœur. Lorsque ses parents décident qu’il doit aller au collège. Sa vie devient très difficile, il y a des trahisons, des lachages, des difficultés mais rassurez vous tout finira par s’arranger…
Bref un livre sur la tolérance, et l’acceptation de la différence. C’est gentil, plein de bons sentiments mais un peu trop.
18:49 Publié dans littérature Anglophone, Livres | Lien permanent | Commentaires (0)
09/06/2013
A venir
Les notes à venir :
1. Dear Life de Alice Munro
2. Far from the tree de Andrew Solomon
3. Le grand Meaulnes de Alain Fournier
4. Hallucinations de Oliver Sacks
5. Phantom de Jo Nesbo
6. Wonder de RJ Palacio
Oups, je n’avais pas réalisé que j’avais tellement de retard. Il va me falloir passer du temps pour rattraper tous ces oublis.
Encore six livres très différents. Un recueil de nouvelles nostalgiques (1), une étude ( ?) sociologique (2), un roman fantastique, une livre de neurologie, un roman policier et un roman tout court.
A bientôt pour toutes ces notes.
Cinq sont écrites, il me reste à les mettre en ligne. Ayant passé plusieurs jours à un congrès et plusieurs heures dans l’avion, j’ai pu lire et mettre à jour mes notes.
16:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
26/05/2013
Joseph Anton de Salman Rushdie
Un livre étonnant. Je vous avertis, il est long. Sans doute, trop long. Mais si vous voulez comprendre ce qui se passe aujourd’hui avec la montée de l’intolérance religieuse, ce livre peut être intéressant. C’est un style très particulier puisqu’il s’agit d’un mélange de mémoire et de réflexions philosophiques. Salman Rushdie nous raconte sa vie suite à la fatwa qui a été lancée contre lui en tant que auteur des « Versets sataniques ». Je n’ai pas lu ce roman donc je n’ai pas d’avis sur le roman. Par contre ayant lu d’autres livres de Rushdie où la religion joue un rôle important, il me semble que son écriture est un moyen de dénoncer des positions extrémistes.
Dans tous les cas, je ne peux comprendre les fatwas, ni toutes ces manifestations de haine, ces menaces de morts. Comment une religion peut amener de tels débordements ? Cela restera un mystère pour moi.
Pour revenir à Joseph Anton, le titre fait référence au patronyme choisi par Salman Rushdie pendant toutes ces années passées caché. Il s’agit de la combinaison des deux prenoms de ses auteurs favoris Conrad et Chekhov
Plusieurs points sont intéressants dans ce roman / mémoire en dehors de la narration des évènements. J’ai aimé l’analyse de Rushdie sur la montée de l’intolérance religieuse et comment il est venu à la rédaction des versets sataniques. La narration de son enfance et de sa relation avec son père, la religion (sa famille est musulmane depuis plusieurs générations) et le racisme britannique est éclairante dans le sens où il connait la religion musulmane. Il est devenu athée mais il n’a pas de haine ni contre la religion, ni contre les Anglais. Son éclairage des relations géopolitiques et des relations avec les services secrets internationaux, non spécialisé et bien entendu d’un point de vue très personnel, permet de mieux comprendre les petites lâchetés et compromis pris pour faire des affaires as usual !!
Il raconte la guerre menée contre les libraires, éditeurs, traducteurs (assassinat du traducteur Japonais), et sa famille. Il narre comment la gauche ne va pas le soutenir alors que les conservateurs vont le faire. Tous pour des mauvaises raisons mais dans tous les cas il doit subir des critiques car il aurait cherché cet opprobre. C’est l’histoire de la lumière qui laisse la place à l’obscurantisme car il ne faut pas faire de vagues !
Par contre, ses déboires amoureux et familiaux sont lassants. Bien qu’il batte sa coulpe régulièrement et se reconnaisse certains torts, il est des pages où son attitude est vraiment limite et ses plaintes le rendent peu sympathiques.
En dehors de ce bémol, c’est un livre puissant, éclairant, à lire !
Pour ceux qui pensent qu’il ne faut pas faire de vagues : suite à la publication de Joseph Anton, la récompense promise à celui qui tuera Salman Rushdie a augmenté de 500 000 USD et est maintenant de 3,3 millions de dollars.
La première phrase « Afterwards, when the world was exploding around him and the lethal blackbirds were massing on the climbing frame in the school playground, he felt annoyed with himself for forgetting the name of the BBC reporter, a woman, who has told him that his old life was over and a new, darker existence was about to begin.”
11:57 Publié dans Coup de coeur, littérature Anglophone, Livres, Top Ten | Lien permanent | Commentaires (0)
23/05/2013
The OrphanMaster’s Son de Adam Johnson
“Citizens, gather ‘round your loudspeakers, for we bring important updates!”
Un livre impressionnant, coup de poing.
Corée du Nord, Pyongyang, état et ville de tous les fantasmes puisqu’il s’agit d’un des derniers pays les plus fermés au monde. Un jeune garçon décrit sa vie dans un orphelinat, il se dit non orphelin et que le maitre de l’orphelinat est son père, d’où le titre du livre. Il décrit une vie de cauchemar, où ces orphelins sont de la main d’œuvre sans aucune valeur. Il décrit la famine qui s’abat sur eux. Famine qui est appelée « La marche ardue » par les politiques.
On le retrouve ensuite soldat dans des tunnels sans lumière, puis kidnappeur de Japonais(e)s et enfin pour être récompensé de ses bons et loyaux services espion sur une épave qui sillonne la mer. Dans ces deux dernières activités, il va nous décrire des rencontres tant Coréennes qu’avec les Japonais / les Américains. Il y est également question de malades que l’on achève en leur prélevant leur sang. La rencontre avec les Américains va être épique et la disparition du drapeau et des portraits du leader adoré va amener une série d’événements qui vont transformer la vie de Jun Do (remarque en Anglais un John Doe est un quidam comme serait en France un Martin Durand). Il va se retrouver au Texas où il notera que la différence entre son pays et les US tient au fait que les citoyens sont motivés par la peur (le bâton) dans son pays et aux US par les récompenses (la carotte). Suite à cette excursion aux US, on retrouve notre héro dans un goulag où il ne devrait pas survivre. Mais il va être pris sous la protection d’une ancienne et cela le sauvera.
Commence alors la deuxième partie, où je n’irai pas plus loin pour ne pas vous gâcher votre plaisir. Mais sachez que c’est une énième et ultime vie qui commence pour notre Jun Do. La seconde partie est moins intéressante que la première. Mais elle à l’avantage de présenter l’autre coté de la médaille. On passe du coté des puissants, de cette cour qui ne souffre pas de la faim mais qui peut disparaître pour des peccadilles.
C’est un livre qui vous prend et que vous ne lâcherez pas. Je ne sais à quel point ce que décrit cet auteur est proche de la réalité et à quel point c’est de la propagande mais dans tous les cas on s’y croit. Les scènes de torture sont nombreuses mais l’auteur ne s’y appesantit pas tant que cela. On perçoit l’absence de raison de tout cela. Y est décrit une vie qui est rythmée et décidée par le haut. Où le citoyen n’est rien, sa vie est entre les mains de hautes instances. Les hauts parleurs sont partout, les femmes sont distribuées au bon vouloir de quelques uns. On devient un héro ou un renégat sans trop savoir pourquoi. On peut être l’un puis l’autre.
Ce livre a eu le prix Pulizer de la fiction. C’est un livre à lire pour les âmes pas trop sensibles.
Par contre je serais réellement curieuse de savoir ce qui est dans le domaine du possible et de celui de la fiction pure (trépanation avec des clous, etc) et ce qu’en pense des Nord Corééns qui ont pu fuir. J’ai reconnu des éléments semblables (questions pour savoir si le haut parleur du voisin est branché) à ceux que l’on m’avait racontés pour l’ex Allemagne de l’Est.
08:39 Publié dans Coup de coeur, littérature Anglophone, Livres, Top Ten | Lien permanent | Commentaires (0)
22/05/2013
Don't become a statistic
Audience : young women
Purpose: raise awareness about the risks linked to binge drinking. Indeed most people know about alcoholism, some are aware about excessive drinking but few think about binge drinking, which is the fact of drinking 4 alcohol units for a woman in a short time (usually less than 2 hours). Most are not alcoholics but it is a risky behavior.
While most people are aware of the risks for young men, young women are a population at high risk because they are more / quicker sensitive to alcohol consequences than men.
I used following rhetorical appeals:
Ethos: 2 studies are used as references to strengthen the point.
Logos: if you drink and are inconscious you can be mishandled, the picture is illustrative. With the references, the audience can link the behavior to the risk and make up her choice!
Pathos: the picture is there to raise fear / disgust / distaste
Kairos: I would use a poster to be shown in high school / college / university just when the school starts or before integration / celebration when the parties are numerous and drinking is part of the "fun".
Picture: I tried to find a picture not so much with the party spirit sometimes linked to alcohol but with how someone can look after. I though it is more effective, it should have a more preventive effect. It should be like a warning, bring some repulsion. By the way, I found this picture on the web in several pages without any references. I used a black square to garantee a certain anonymity and stress it like a news item.
Text: I started with statistics to demonstrate that binge drinking is common even among young girls. I am not talking about alcoholism but about risky attitude. Then I introduce the risk of rape. My aim being that by reading / looking at the poster, the women don't become a statistic. I first thought of adding the line "don't become a statistic" but then thought it would be too much pathos and I prefered a mix of ethos (reference), logos (text) and pathos (picture)
Colors by using black and red I stressed the danger / risk. I underlined the fact that if both partners have drunk then the risk is even higher to show that it can be both sides
To see the picture better, clik on it.
16:14 Publié dans Drôle d'endroit pour une rencontre, Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0)
20/05/2013
Beautiful ruins de Jess Walter
« The dying actress arrived in his village the only way one could come directly – in a boat that motored into the cove, lurched past the rock jetty, and bumped against the end of the pier. »
Que dire de ce livre? Il est plaisant mais sans plus.
Si vous connaissez « le facteur / il postolino » alors vous avez une trame un peu identique mais nettement moins réussie. Une actrice de second rôle, à qui on fait croire qu’elle a un cancer en phase terminale alors qu’elle est enceinte, se retrouve dans un village voisin des Cinqueterre. Nous sommes dans les années cinquante. Elisabeth Taylor et un de ses futurs maris font la une des journaux, ils tournent un film qui a couté une fortune, cette idylle doit continuer pour sauver le film et donc cette jeune actrice doit être éloignée à tout prix. Elle se retrouve dans un hôtel dont le propriétaire, un peu naïf, va tomber fou amoureux. Il ne se passera pas grand-chose mais c’est l’occasion de présenter ce coin de l’Italie qui est magnifique.
Trente ans plus tard on retrouve ces personnages à Hollywood mais il est moins question de sitcoms que de série télé et de reality show. La vérité va éclater.
08:38 Publié dans littérature Anglophone, Livres | Lien permanent | Commentaires (0)
18/05/2013
Short nights of the shadow catcher de Timothy Egan
“The last Indian of Seattle lived in a shack down among the greased piers and coal bunkers of the new city, on what was then called West Street, her hovel in the grip of Puget Sound, off plumb in a rise above the tidal flats.”
Un must pour ceux qui s’intéressent aux Indiens d’Amériques, à la photographie et/ou aux biographies.
En effet ce livre narre l’histoire d’Edward Curtis. Photographe Américain qui dédiera sa vie à prendre en photo / archiver l’histoire des différentes tribus Nord Américaines. A une époque où les Indiens ne sont pas encore des citoyens à part entières et où leur culture est en cours de disparation / annihilation dans la masse Américaine.
L’histoire de ces photos tout comme la vie de ce photographe sont exceptionnelles. On y découvre un homme qui va tout sacrifier pour ce travail titanique. Pris dans la guerre mondiale et dans des luttes légales, son œuvre sera ignorée avant d’être reconnue un demi-siècle plus tard comme une œuvre immense et ses livres se vendront à plus de 1 millions d’USD. Alors qu’il a fini sur la paille…
Bref c’est une histoire à multiples aspects que vous découvrirez.
08:37 Publié dans littérature Anglophone, Livres | Lien permanent | Commentaires (0)
14/05/2013
The age of miracles de Karen Thompson Walter
“We didn’t notice right away”
Encore une histoire de fin du monde.
Mais cette fois, la fin n’est pas perceptible immédiatement. Sans que la cause ne soit connue, le temps s’écoule différemment. Les jours rallongent et ne font plus 24 heures. Cela implique des changements radicaux dont les ramifications ne sont pas prévisibles. Une jeune femme et sa famille vont affronter ce nouveau monde. Des choix sont à faire, faut il ou non faire semblant que le temps ne change pas comme les autorités le recommandent. Mais dans ce cas, vous pouvez dormir pendant qu’il fait jour et aller à l’école la nuit. Ou bien faire parti des résistants pour des raisons idéologiques (l’état nous ment), religieuses (Shabbat oblige), écologiques. Deux raisonnements s’affrontent et ces deux camps vont se faire une guerre larvée.
Cette jeune ado assiste en même temps à la fin du couple de ses parents, à la maladie que va développer sa mère suite à ce changement, à la fin de la société telle que l’on la connaît. Elle va rencontrer son premier amour mais en déménageant elle le perdra puisque l’énergie est utilisée exclusivement pour faire pousser la nourriture (et oui les plantes et les saisons ne s’y reconnaissent plu) et internet tout comme le téléphone mobile vont disparaître.
J’ai trouvé ce livre d’anticipation plus prenant que the last policeman car il y a plus de suspens. Plus que la fin du monde, il s’agit en effet d’une fin du monde tel que l’on le connaît. On ne sait pas pourquoi ce changement de temps arrive mais cela m’a peu importé. Les personnages ne sont pas forcement très approfondis mais l’histoire est bien racontée.
20:58 Publié dans littérature Anglophone, Livres | Lien permanent | Commentaires (0)
04/05/2013
Voyage : au pays du linge
La second activité qui m'aura beaucoup occupée ces derniers jours et semaines c'est un séjour dans une ville mythique.
Laissez moi vous raconter quelques unes de nos aventures avant de vous dévoiler notre destination.
Nous avons pris un avion, arrivés sur place très tard, nous avons bien cru que nous aurions du mal à rejoindre notre logement car il n'y a pas de voiture où nous allions.
Finalement nous avons réussi à rejoindre l'appartement loué. Il est déjà 1 heure du matin...
Le lendemain matin, ce sont les cloches qui nous réveillent à 8 heures. Nous laissons le kjareste faire une demi sieste et nous partons chercher le petit déjeuner. La puce est ravie dans l'appartement il y a un charriot pour faire les courses.
Ensuite c'est parti pour la découverte de la ville où nous sommes. Pas question d'aller dans les endroits touristiques, il y a beaucoup trop de monde. Alors on part à la découverte de notre voisinage. La puce est intriguée par toute cette eau. Elle veut prendre un bateau. Nous voilà partis dans un autre quartier, on monte et on descend des ponts. On découvre des places. Puis retour pour la sieste avant de repartir.
Le lendemain nous décidons de prendre un nouveau bateau celui là va nous emmener dans une île Giudetta avec un très bel hôtel. Restaurant (très bonnes pâtes) au soleil en regardant passer des bateaux de croisière qui sont des monstres tellement ils sont grands. On aura même une petite vague qui essayera de nous lécher les pieds sans succès. Dans l'après midi très belle expo photo dans un palais magnifique qui a une vue splendide sur la place la plus célèbre de cette ville.
Le lendemain nous partons à la découverte des lieux les plus célèbres. Naïvement nous pensons qu'un lundi matin, il doit y avoir moins de touristes. Que nenni... Des queues de touristes de toutes les nations sont déjà présentés... On fait un tour sur cette place unique et puis on essaye de s'échapper dans des petites ruelles moins animées mais les rues sont étroites. Pique Nique sur une petite place puis retour pour la sieste. Le soir nous partirons faire un tour de nuit. C'est encore plus magique...
Mardi nous repartons en balade à droite et à gauche là où nos pas, nos envie nous mènent. Il fait gris, on finira par se protéger de la pluie dans un restaurant. Le reste de la journée sera plus tranquille. Chaque balade est une occasion de ce perdre un peu. Les adresses sont basées sur le nom du quartier et un numéro de maison. Les rues existent mais ont souvent moins d'importance pour se retrouver que de suivre les numéros. Par contre il arrive que les numéros changent de façon imprévue. Nous adorons les rues décorées par le linge coloré aux fenêtres. Cela restera le meilleure souvenir de la puce d'après ses déclarations.
Mercredi 1er mai, il fait un temps magnifique. Nous partons à la découverte de deux nouvelles îles qui ont chacune une spécialité : le verre soufflé pour l'une d'entre elle et la dentelle pour l'autre. Nous avons craqué pour Burano et ses maisons tout en couleurs. Ici un rose fuchsia, là un vert fluo, du jaune côtoie le mauve. Bref c'est haut en couleur. Nous pique niquerons sur une place en discutant avec une des habitantes dont nous squattons le mur. Il y a beaucoup de maisons à vendre. Cela nous tente beaucoup. Un long retour nous attend vers Castello 1249 car les vaporetto sont pris d'assaut. Mais nous trouvons une solution alternative beaucoup plus confortable.
Et voici le dernier jour arrivé, dans la soirée l'avion nous attend. Nous allons parcourir une dernière fois cette magnifique ville que vous aurez tous reconnu bien entendu: Venise.
Vous comprendrez que j'ai très peu de temps pour rédiger des notes.
21:03 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (0)