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14/05/2013

The age of miracles de Karen Thompson Walter

“We didn’t notice right away”

Encore une histoire de fin du monde.

Mais cette fois, la fin n’est pas perceptible immédiatement. Sans que la cause ne soit connue, le temps s’écoule différemment. Les jours rallongent et ne font plus 24 heures. Cela implique des changements radicaux dont les ramifications ne sont pas prévisibles. Une jeune femme et sa famille vont affronter ce nouveau monde. Des choix sont à faire, faut il ou non faire semblant que le temps ne change pas comme les autorités le recommandent. Mais dans ce cas, vous pouvez dormir pendant qu’il fait jour et aller à l’école la nuit. Ou bien faire parti des résistants pour des raisons idéologiques (l’état nous ment), religieuses (Shabbat oblige), écologiques. Deux raisonnements s’affrontent et ces deux camps vont se faire une guerre larvée.

Cette jeune ado assiste en même temps à la fin du couple de ses parents, à la maladie que va développer sa mère suite à ce changement, à la fin de la société telle que l’on la connaît. Elle va rencontrer son premier amour mais en déménageant elle le perdra puisque l’énergie est utilisée exclusivement pour faire pousser la nourriture (et oui les plantes et les saisons ne s’y reconnaissent plu) et internet tout comme le téléphone mobile vont disparaître.

J’ai trouvé ce livre d’anticipation plus prenant que the last policeman car il y a plus de suspens. Plus que la fin du monde, il s’agit en effet d’une fin du monde tel que l’on le connaît. On ne sait pas pourquoi ce changement de temps arrive mais cela m’a peu importé. Les personnages ne sont pas forcement très approfondis mais l’histoire est bien racontée.

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