Kezako Oslo

Traduction du titre : le manteau de chagrin

Mon premier roman en Norvégien.

Lindell est une des romanciers les plus vendus en Norvège.

J’aime les romans policiers mais je n’ai pas accroché à son histoire. Je ne sais pas si c’est la langue ou l’histoire… Mais je suis très fiere d'avoir lu mon premier roman Norvegien. J'ai enchainé sur des BD.

D'ailleurs en prenant Tintin, j'ai eu la version danoise car les deux langues sont très similaires en tout cas à l'écrit. A l'oral le Suèdois est plus proche. Le Danois, cela sonne comme le Norvègien, mais comme si vous aviez une pomme de terre chaude dans la bouche... vous voyez??

Un cadeau de Noël très utile et agréable que je parcours à petites doses.

Parfait pour comprendre mieux l’art. De très belles photos et surtout un texte clair et facile à comprendre pour les non spécialistes. Apprendre sans se sentir inculte, c’est plaisant.

L’histoire d’un bar africain et de ses clients, racontée par un des piliers du bar…

Les personnages sont OK, c’est drôle. Mais si les clins d’œil littéraires sont amusants au début, ils deviennent lourds au bout de 250 pages. Je n'ai pas vraiment accroché

On m’a recommandé « Memoire de Porc Epic », je ne sais pas si je vais le lire.

Merci petite soeur ;-))

Un très agréable roman, des personnages et une histoire hors du commun. J’ai bien aimé, c’est jubilatoire. A lire Attention certains passages peuvent être un peu longuet et abscons pour ceux qui n’ont pas le même niveau culture que Renée (dont moi).

ICI, Bernard en parle mieux que moi 

Présentation de l'éditeur
"Je m'appelle Renée, j'ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l'image que l'on se fait des concierges qu'il ne viendrait à l'idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants. Je m'appelle Paloma, j'ai douze ans, j'habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c'est le bocal à poissons, la vacuité et l'ineptie de l'existence adulte. Comment est-ce que je le sais? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C'est pour ça que j'ai pris ma décision : à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai. "

Depuis 3 jours le printemps est arrivé et aujourd'hui c'était même l'été 25 degres...

Bref le bonheur.

J'ai passé la journée d'hier sur ma terasse à lire un bouquin de marketing (beurk, beurk) mais bon je n'ai plus qu'un devoir à rendre avant les examens qui sont en octobre et le rapport final en decembre... Donc quand ce devoir sera fini, je serai presque en vacances... Youpi

Tout ça pour dire quoi?? A oui qu'il faisait beau. Aujourd'hui terasse (et oui, je ne m'en lasse pas), j'ai meme fait la sieste. J'ai eu le malheur de commencer "une vie Française" de JP Dubois, et je me suis endormie à 3/4heures (j'ai pas voulu regardé l'heure précise. En tout cas il commencait à faire jour. Bref j'ai peu dormi...

Je vous livre le résumé (pris sur Amazone)
Petit-fils de berger pyrénéen, fils d'une correctrice de presse et d'un concessionnaire Simca à Toulouse, Paul Blick est d'abord un enfant de la Ve République. L'histoire de sa vie se confond avec celle d'une France qui crut à de Gaulle après 58 et à Pompidou après 68, s'offrit à Giscard avant de porter Mitterrand au pouvoir, pour se jeter finalement dans les bras de Chirac. Et Paul, dans tout ça ? Après avoir découvert, comme il se doit, les joies de la différence dans le lit d'une petite Anglaise, il fait de vagues études, devient journaliste sportif et épouse Anna, la fille de son patron. Brillante chef d'entreprise, adepte d'Adam Smith et de la croissance à deux chiffres, celle-ci lui abandonne le terrain domestique. Devenu papa poule, Paul n'en mène pas moins une vie érotique aussi intense que secrète et se passionne pour les arbres, qu'il sait photographier comme personne. Une vraie série noire - krach boursier, faillite, accident mortel, folie - se chargera d'apporter à cette comédie française un dénouement digne d'une tragédie antique. Jardinier mélancolique, Paul Blick prend discrètement congé, entre son petit-fils bien-aimé et sa fille schizophrène. Si l'on retrouve ici la plupart des " fondamentaux " de Jean-Paul Dubois - dentistes sadiques, femmes dominatrices, mésalliances et trahisons conjugales, sans parler des indispensables tondeuses à gazon -, on y découvre une construction romanesque dont l'ampleur tranche avec le laconisme de ses autres livres. Cet admirateur de Philip Roth et de John Updike est de retour avec ce roman dont le souffle n'a rien à envier aux grandes sagas familiales, dans une traversée du siècle menée au pas de charge

Mince, j'avais pas fini, voilà qu'ils racontent la fin... Enfin je vais continuer car c'est bien ecrit, drole et emouvant. Par raconte j'ai relevé une erreur dans le résumé... Sa premiere aventure; il l'a bien en Angleterre mais avec une Finlandaise... Ces éditeurs.... ils devraient relire les textes... Les commentaires sont pas excellents mais pour l'instant, j'aime bien.

Demain, promis je vous raconte Stavanger