Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/11/2010

"La soeur qui portait des fleurs" de Natzuki Ikezawa

Alors voilà après Mankell, le choix était rude.. Mais j’aime la littérature Japonaise alors après l'Amérique du Sud et la Scandinavie... je suis partie plus à l'Est.

 

Cela serait outrecuidant d’affirmer que je m’y connais mais bon j'aime bien. Cela fait des années que je découvre de nouveaux auteurs. C’est l’occasion de découvrir un nouveau monde, un nouvel univers avec des valeurs et un système de pensée et de perception radicalement différent.

 

Mon préféré reste Murakami Haruki. Il semble qu’il soit pressenti pour le prix Nobel et je dois avouer que j’adore son écriture. « Kafka, sur le virage » Norwegian wood sont des livres que je n’oublierai pas. Je trouve que cette littérature est très onirique.

 

Cette fois j’ai découvert un nouvel auteur : Ikezawa. C’est très différent de Murakami. Ce livre est basé sur des faits réels ce qui lui donne une atmosphère particulière, en plus il se passe à Bali ce qui n’a pas grand-chose à voir avec le monde Japonais.

 

Un jeune peintre, talentueux, en rupture avec ses parents, et globe trotter s’enfonce dans la drogue après une rencontre néfaste avec une femme et un accident dont il se sent responsable. Il tente plusieurs fois de sortir de l’héroïne. Après son arrivée à Bali, il va  en acheter une dernière fois mais c’est la fois de trop. Il tombe dans un piège et pars en prison. C’est l’enfer qui continue. En tant qu’étranger, il fait un très bel appât et il risque la peine de mort. Sa jeune sœur va venir à son secours.

 

Ce livre est construit en parallèle avec des chapitres alternants entre le frère et la sœur. On découvre la descente du frère dans la drogue ainsi que sa découverte de la peinture. Sa sœur narre son chemin pour sauver son frère mais aussi sa découverte d’une nouvelle culture. Car il ne faut pas oublier que ce roman se passe à Bali. Et je crois que c’est ce que j’ai aimé dans ce roman : des morceaux de culture Balinaise nous sont peu à peu présentés. La jeune sœur tout d’abord très réticente va finir par aimer cette ile. J’y ai moins vu l’amour fraternel que Bali.

 

 

 

Auteur : Natsuki Ikezawa

Traducteur : Corinne Atlan | Corinne Quentin

Genre : Romans et nouvelles - étranger

Editeur : P. Picquier, Arles, France

ISBN : 978-2-87730-720-8

GENCOD : 9782877307208

 

 

Vu ici 

 

Ikezawa s'est inspiré de faits réels survenus dans les années 1980 pour élaborer la trame de ce roman qui célèbre la force rédemptrice des liens fraternels. Un jeune peintre japonais, Tetsurô, voyage dans le paradis tropical de Bali, en quête d'inspiration. Happé par une rencontre féminine néfaste, il devient héroïnomane et se retrouve en prison en Indonésie pour détention de stupéfiants, charge passible de la peine de mort dans ce pays. Sa sœur, avec qui il partage depuis l'enfance une complicité sans faille, va lui porter secours de manière opiniâtre et dévouée. Bravant les avocats véreux et les juges corrompus, dans un pays qui n'est pas le sien, Kaoru devra se fondre dans les pratiques locales et s'inspirer de la dévotion et des prières balinaises, pour trouver la force de sauver Tetsurô

 

23/11/2010

Un enfant et son nounours

Dimanche, nous sommes allés nous promener dans un très joli parc.

C'est un parc spécial. Il est ouvert au public le week end.

Il est très grand. Il est ceint de grilles.

Il y a de très vieux arbres... et des bâtiments. Ces bâtiments sont désignés par des lettres et des couleurs. Certains sont flambants neufs, mais beaucoup sont délabrés. Il y en a qui ressemblent à des classes. D'autres ont des grilles aux fenêtres même au 3ème étage. Un est particulièrement entouré d'une grille très haute sécurité...

Il y a une ferme avec des chèvres et des biches. On peut donner du pain aux chèvres, de l'herbe aux biches... On peut faire du vélo tranquille.

Il y a une bibliothèque, un centre social, une église...

Il y a quelques voitures, quelques personnes du voisinage viennent profiter des arbres et de la tranquilité du lieu. Il y a des visiteurs préssés. Il y a peu de personnes aux fenêtres. Certaines sont dans des cours enfermés. Une joue au basket.

Et puis il y a ce petit garçon d'une dizaine d'années. Un joli petit garçon avec de magnifiques yeux... un peu cerné, les yeux. Il n'était pas seul. Non un homme l'accompagne. Cet homme est bras nu avec une chemise blanche. Rectification une tunique blanche d'infirmier... 

Je me souviendrai longtemps de ce petit bonhomme de 10 ans avec son nounours. Qu'avait il pour être dans ce parc... pour ne pas être un visiteur mais un patient de ce lieu.

Car ce parc entoure un hôpital psychiatrique.  J'habite depuis plus de 10 ans dans cette ville et je n'étais jamais venu ici. La maladie mentale me fascine et me terrifie à la fois.

 

 

 

21/11/2010

Un homme inquiet Henning Mankell

Je viens de finir le dernier livre de Mankell "Un homme inquiet"

Je l'ai dévoré. J'avais envie de savoir, de connaître les raisons de ces disparitions. Alors est ce un effet de l'indigestion (lu trop vite??) ou bien plus on lit, plus on devient difficile??? Je ne sais pas mais je dois avouer une légère déception.

Je ne vais pas vous raconter l'histoire, il n'y a rien de pire pour un polar que d'avoir les clés avant de commencer. Mais bon il faut quand même en dire un peu plus. Alors je vais essayer de faire court et surtout sans lever trop de mystère.

Kurt Wallender déménage à la campagne. Il prend de plus en plus peur façe à la vieillesse et la mort. Mais la vie le surprend puisque sa fille a une petite fille "Klara". Le voilà donc grand père... Le grand père paternel (le père du père de Klara) était un officier de la marine Suèdoise, haut gradé, retraité. Il parait avoir peur, mais on ne sait pas de quoi. Un jour, il disparaît. Puis c'est sa femme qui disparaît. Wallender suit l'enquète. Il y est question de la guerre froide, d'espions, de soupçons, d'effets miroir...

J'ai trouvé la fin baclée... on est en 2010, est ce qu'il est vraiment crédible d'avoir des morts pour des problèmes d'espionnage surtout que les gens ne sont plus actifs depuis des années... Par contre, j'ai aimé le retournement de la situation. Les méchants ne sont pas toujours ceux auxquels on pense.

En parallèlle, la vie privée de Wallender est comme d'habitude une suite d'incidents où il passe à coté de la vie...

Ma déceptionvient du fait que lors de ses autres romans, on voyait l'évolution de la Suède... Dans celui ci, il est certes question de la crise des Hedge Funds, etc mais c'est peu crédible. Peut être que cela explique que ce livre soit l'ultime enquète... L'auteur semble à bout de souffle?

Par contre la fin est touchante. Tout le long de ce roman, on sent que l'auteur exprime / partage sa peur de la mort et la crainte de la vieillesse qui est vraiment prégnante dans ce roman.

Son meilleur roman (en dehors des policiers) pour moi c'est "comedia infantile"

Et maintenant que lire... Il me faut retourner à la bibliothèque

 

15/11/2010

"La littérature est la preuve que la vie ne suffit pas" Fernando Pessoa

Je viens de lire cette citation ici

Et je me suis dit qu'il me fallait la noter... Voilà c'est fait. Je vais également me plonger dans ce blog car avec une telle citation on a envie de revenir et de regarder de plus près.

Je viens de me prendre en flagrant délit de "Lyonisme" j'avais écrit... on a envie d'y revenir... Il faut savoir qu'ici on employe des Y à toutes les sauces... et forcement au bout de 10 ans, on finit par s'y habituer et pire le dire ou l'écrire sans trop s'en rendre compte.

 

14/11/2010

XXI : un ovni dans la presse Française...

J’ai découvert la revue XXI. C’est un OVNI dans la presse Française.

 

Il contient des longs articles, ce qui change de la presse actuelle. Ce sont des morceaux de vie. Je me souviens d’un article sur un médecin qui tente d’avoir une approche psychiatrique différente. Il aborde les sujets de différents points de vue. Dans le dernier numéro, 3 articles sont consacrés à des villes qui ont pour point commun d’être dédiées à une seule industrie. Toyota au Japon, Detroit aux US et une ville Canadienne qui est devenue riche grâce à l’amiante. L’article sur la ville de Toyota au Japon était vraiment passionnant. Dans ce même numéro, un retour sur la guerre d’Espagne qui est vraiment passionnant.

 

Par contre il faut signaler que comme tous les articles sont faits par des journalistes différents, tout n’est pas de la même qualité…

 

Sa couverture peut vous surprendre. C’est basé sur la bande dessiné, un peu à la Lichtenstein… Personnellement je n’aime pas mais ce n’est pas non plus pour cela que je l’achète.

 

Il n’est pas distribué en kiosk (sauf les Relay des gares) mais dans les librairies. Il sort tous les trimestres. A Lyon, on le trouve dans la librairie Coquillettes 6 place Ferdinand Rey 69001. Il coûte 15€, ce qui est raisonnable vu la qualité des articles. Et surtout c’est reposant il est SANS pub.

 

C’est un choix de modèle économique qui a l’air de fonctionner.

 

Pour ceux que cela intéresse :

-          un article qui parle du lancement et des impacts économiques des choix faits

-          Le blog de XXI

 

Bref je vous le conseille.

16:30 Publié dans Loisirs | Lien permanent | Commentaires (0)

12/11/2010

James Nachtwey à la BM de la Part Dieu

Un choc! Un coup de poing dans l'estomac!

Cette expo de Nachtwey vous prend et ne vous quitte pas. Vous avez jusqu'à Janvier 2011 pour y aller.

 

Le 11 septembre, les orphelinats de Roumanie, les guerres, la famine, ...

 

C'est parait il le plus grand reporter de guerre contemporain (enfin lui se definit comme anti-guerre) car ses photos sont là pour montrer et dénoncer l'horreur....

 

En tout cas je vous conseille d'aller voir ici . Vous n'avez pas besoin de parler l'Anglais pour comprendre. En cliquant à gauche on voit certaines de ses photos

 

J'ai repris une photo de artnet.com que je trouve d'inspiration très Magritte. Vous ne trouvez pas?

 

artwork_images_113308_215352_james-nachtwey.jpg

21:46 Publié dans Expo | Lien permanent | Commentaires (0)

11/11/2010

"L'homme qui parle". Suite et fin

Et voilà j’ai fini ce livre. J’ai vraiment beaucoup aimé. Les derniers chapitres sont consacrés à un parallèle entre le peuple juif et ce peuple amazonien (les Machiguengas). Ou comment l’exode permet de survivre.

 

Un petit extrait sur cet exode justement. J'aime beaucoup Le long du temps. Le long du monde, aussi.

 

Un bon cru ce Nobel 2010 !

 

Tout comme le peuple qui marche, les familles durent se séparer les un des autres pour être acceptées. S’ils étaient peu nombreux, s’ils ne faisaient pas d’ombre, les autres peuples leur laissaient un endroit pour semer, chasser et pécher. Parfois ils leur ordonnaient : « vous pouvez rester mais sans semer ou sans chasser. C’est la loi. » Ainsi duraient ils quelques lunes, parfois ; plusieurs, peut être. Mais cela finissait toujours mal. S’il pleuvait trop ou s’il ya avait de la sécheresse, si quelques catastrophe survenait, on commençait à les haïr. «  C’est votre faute, leur disait on. Dehors ! » On les expulsait à nouveau et ils semblaient sur le point de disparaitre.

 

Parce que l’histoire s’est répétée dans énormément d’endroits. Toujours la même comme un seripigari qui ne peut revenir d’un mauvais tournis et continue à tourner, désorienté, entre les nuages. Et cependant, en dépit de tant de malheurs, ce peuple n’a pas disparu. Malgré ses souffrances, il a survécu. Il n’était pas guerrier, il gagnait jamais les guerres et il est là. Il vivait dispersé, ses familles aux quatre coins du monde, et il a demeuré. Des peuples plus grands, de guerriers, des peuples forts, de Maschos, de Viracochas, de sages seripigaris, des peuples qui semblaient indestructibles, s’en allaient. Ils disparaissaient, donc. Il ne restait nulle trace d’eux dans ce monde ; personne ne s’en souvenait ensuite ? Eux en revanche, ils continuent. Ils voyagent vont et viennent, ils fuient. Vivants et errants, donc. Le long du temps, le long du monde, aussi.

 

Et c’est que ; malgré tout ce qui lui est advenu, le peuple de Tasurinchi-Yahvé ne s’est pas séparé de son destin. Il a accompli son devoir toujours. En respectant les interdits, aussi…..

 

 

10/11/2010

"L'homme qui parle" de Mario Vargas Llosa

Après cette odyssée fellinienne qui m’a laissé relativement indifférente, j’ai continué dans la littérature hispanophone avec le dernier prix Nobel Mario Vargas Llosa « L’homme qui parle ».

 

Je n’ai pas fini mais je livre une ébauche de résumé.  

 

L’écriture est fluide. L’histoire est prenante bien que cela soit rapidement évident qui est « L’homme qui parle ». Mais est ce vraiment le plus important ?

 

Le narrateur, en voyage à Florence, plonge dans son passé et ses souvenirs en découvrant une photo. Démarre alors un récit qui mixe réminiscences et extrapolations. Un mixte de la vie du narrateur et de celle de l’homme qui parle. Des chapîtres sur la tribu des hommes qui marche s'entremelent avec la vie du narrateur.

 

Cela parle du Pérou, d’une tribu qui va être confrontée à la civilisation, de la fascination du narrateur pour un de ses condisciples, de ses retours sur son passé et ses engagements. C’est beau, c’est nostalgique, c’est triste comme le temps qui passe. Je ne sais pas comment vraiment exprimé ce que je ressens ou alors peut être ainsi : est ce que la civilisation est toujours là où l’on pense… les soi disant primitifs / primaires ne sont pas toujours ceux que l’on pense.

 

C'est une belle histoire.

 

04/11/2010

"Un mal sans remède" de A Caballero

Un mal sans remède

 

Après mon aventure au Progrès et en particulier lors des assises internationales du roman de la Villa Gillet  http://air.villagillet.net,  je fais partie d’un club de lectrices… enfin c’est un grand mot. Nous sommes quelques lectrices qui échangeons sur nos lectures.

 

C’est assez drôle toutes sont enseignantes, il m’arrive de me sentir un peu déboussolée par leurs analyses mais je les trouve enrichissantes et puis cela me sort de la maison car même si j’adore Tiphaine, je ne partage pas son admiration pour les lectures de bébé.

 

Thierry et moi on n’a pas les mêmes gouts et ce n’est pas sa passion principale. Tout ceci fait que mon club de lectrices me permet de passer un excellent moment.

 

Notre première rencontre avait été assez décousue car nous devions parler de « tout le monde s’en va » de Wendy Guerra. Un très bon roman basé sur un journal écrit par l’auteur. Nous avions toutes aimées ce livre. Par contre certaines ne comprenaient pas pourquoi elles n’avaient pas été plus bouleversées par cette histoire. C’est vrai que ce récit d’une enfant plus ou moins abandonnée par sa mère et dans tous les cas maltraitée par son père est poignant. Mais je ne me souviens pas si j’ai versé des larmes…

 

Le prochain roman sur la liste était « un mal sans remède »  de A Caballero dont voici la présentation

 

Antonio Caballero, journaliste et romancier né à Bogotá, est célèbre en Colombie pour ses dessins satiriques et pour la création de la revue de gauche Alternativa. Un mal sans remède, odyssée fellinienne à l’humour ravageur, brosse un portrait au vitriol de la société colombienne. Réflexion magistrale sur le rôle de l’écrivain, ce chef-dœuvre, né de douze années de travail, l’a révélé comme un écrivain majeur de la littérature latino-américaine.

 

C’est son seul roman.

 

Le titre fait référence à la vie… ce qui est bien trouvé.

 

J’avoue que c’est bien écrit, il y est question de littérature, de musique, de politique.

 

C’est l’histoire en  584 pages de quelques mois de vie d’un poète raté (enfin qui voudrait bien être poëte) qui baise toutes les femmes qui passent même celles qu’il ne pensait pas pouvoir avoir (je caricature)…

 

Mais bon, j’avoue que je n’ai pas compris l’humour mentionnée dans le 4eme de couverture.

 

J’y ai vu de l’ironie (féroce), de la caricature, une dénonciation de la société Sud Américaine mais je m’y suis ennuyée.

 

C’est certes un bon livre et une écriture magistrale mais je ne peux pas dire que j'ai vraiment accroché.  Je l’ai lu jusqu’au bout sans aucune émotion, parce que je fais partie de ce cercle et que je ne voulais pas décevoir mes amies. Je m'y remettais tous les soirs...

 

Peut être que ce livre qui montre une époque les années 70 est un peu daté encore que je dois avouer que cela me rappelle sinistrement notre actualité avec toutes les affaires en cours… tout en sachant que nous ne sommes pas dans une dictature et que les assassinats et enlèvements ne sont pas notre quotidien.

 

En y repensant, après 3 autres livres lus, je dois noter que c’est une écriture puissante et que je me souviendrai de ce livre, signe que cela ne peut être un si mauvais livre. Car la mauvaise littérature passe et ne laisse pas de trace. C’est sans doute l’atmosphère que je n'ai pas aimé.

 

 

 

 

02/11/2010

Une autre expo : Monet au grand Palais et Munch à Paris

 

Pas de note depuis juillet….

 

Décidément je ne suis pas très assidue. Bah, cela n’a pas d’importance, j’ai décidé de faire de ce blog un journal de mes lectures, des expos et musées visités. Cela me fera des souvenirs pour mes vieux jours en espérant que le serveur soit encore en vie pendant longtemps.

 

Il y a quelques semaines je suis allée à l’exposition Monet du Grand Palais.

 

Je ne sais pas pourquoi il y a des réservations avec des heures si sans réservation on peut rentrer….

 

Enfin malgré la foule, ce fut un joli moment avec des toiles très marquantes comme celle de son épouse sur son lit de mort ou un paysage hivernal tout en nuance de blanc et de gris. Bien entendu il y avait les fameuses séries (cathédrale de Rouen, les meules, les saules pleureurs) mais ce n’est pas ce que j’ai préféré. Peut être parce que l’expo de Rouen de cet été les présentait déjà et que du coup l’effet découverte était passé mais c’est impressionnant de voir son obsession de la lumière et de son effet ainsi que l’évolution de Monet qui reprend les mêmes thèmes mais parvient à les renouveler à chaque fois. Bref un bon moment.   

 

Cela me rappelle qu’en juin (je crois) j’étais allée voir une expo Munch à la Pinacothéque. J’avoue avoir du mal à me souvenir de ce que j’y ai vu. Du fait de la fatigue, j’y étais allée après le travail, de la foule (difficile de voir bien les toiles) mais aussi parce qu’ayant vécu à Oslo, j’ai eu maintes fois l’occasion de visiter le musée de Munch où des œuvres plus importantes y sont présentées.

 

 

Ici on en parle mieux: http://www.artistikrezo.com/art/Peintures/claude-monet-au... 

http://www.pinacotheque.com/en/home/exhibitions/all-curre...

 

21:53 Publié dans Expo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : loisirs, expo