Kezako Oslo

- d'avoir du temps et/ou de le prendre

- d'avoir le choix ou des choix

- De vivre dans un pays libre

- d'avoir reçu une éducation et de continuer à apprendre

- et encore plein d'autres choses mais 40 kilomètres en velo me font dire que le confort c'est aussi d'avoir des muscles ;-)) là où je n'en ai pas assez visiblement...

Orange mécanique

Révolution Orange

Orange pressée car le feu est Orange... (facile)

Théâtre d'Orange mais est il toujours bleu marine?

Orange ou Citron

Orange = jaune + rouge

Orange ou Or Ange or un ange passe

Oran ge te regrette

Or an ge suis mauvaise ;-)))

O rage o désespoir

Orage non je prefère les éclairs

Allez je sors...

Demain un grand tour de vélo qui est rouge et pas orange car cela sera sans doute la seule belle journée du week end. Dimanche Un tour au musée de Grenoble qui a une expo "Die Brücke" et là il y aura de l'orange. Lundi: Annecy si le temps s'améliore.... mardi et Bien on verra.

Ah quel beau concept...

J'ai beaucoup de chance.

Une famille en or

Des parents géniaux qui n'avaient rien et ont tout fait pour leurs enfant. Je ne suis pas certaine de faire autant de sacrifices pour ma puce... Mais sans doute avec de la chance pourrons nous lui offrir des études et lui donner nos valeurs en ayant moins d'efforts financiers à fournir puisque leurs efforts nous ont permis de faire des études et donc de décrocher un travail avec un bon salaire ce qui n'était pas leur cas. En plus notre puce à la chance d'avoir des grands parents qui s'occupent d'elle et qui l'adore. Mes parents commencent à vieillir mais ils sont très actifs et j'espère que nous les aurons encore très longtemps près de nous.

Une sœur et un frère dont je suis proche et qui nous accompagnent sur le chemin de la vie. Une tatalie qui adore sa nièce, qui lui rend bien

Je pense à tous ceux qui n'ont pas cette chance. Une famille cela peut faire du bien mais aussi tellement de mal... Je compatis pour ceux qui n'ont pas eu notre chance.

Cela faisait longtemps que je voulais lire ce roman dont j'avais entendu / lu beaucoup de bien. Petite soeur me l'avait offert pour mon anniversaire. Depuis il était resté dans les étagères, il en est sorti pour rejoindre les bagages lors de nos dernières vacances. Bien m'en a pris.


Une succession d'aller - retour dans le temps. Une femme et sa fille. Estonienne, elle va se marier avec un Finlandais dans les années 70. Il y a encore le mur de Berlin, l'Estonie est une annexe du bloc soviétique. Les cicatrices de la guerre et de l'annexion existent encore et sont même encore ouvertes pour certaines. La mère cache ses origines. Elle ne pourra pas retravailler alors qu'elle était ingénieur. Elle devient paranoïaque peut être avec quelques raisons. Elle ne se fait pas à son nouveau pays. Elle va passer sa vie à faire des aller retours compliqués entre Tallinn et la Finlande. Sa fille doit cacher ses origines, lié aux problèmes du couple, cela va donner une jeunesse très erratique. La jeune femme va développer un comportement alimentaire très particulier (c'est un euphémisme en fait elle souffre de boulimarexie). Et l'autre partie du roman est consacrée à cette jeune femme qui ne sait pas qui elle est, qui a une nostalgie d'un autre pays, autre monde qui lui faut cacher.

C'est difficile à résumer, c'est dans tous les cas un roman prenant qui nous fait amène dans une période de l'histoire Européenne que nous avons oublié, occulté ou ignoré pendant longtemps. C'est un style cru qui ne plaira pas à tous le monde mais il fait ressortir l'enfermement de ces deux femmes.

"Ma première fois, c'était différent."

Je renonce déjà à parler politique car tous ces gens qui parlent de jours meilleurs mais n'ont aucun plan crédible m'ennuient. Qu'ils soient bleus, rouges, roses, marrons ou même verts... Je n'aime pas les dogmatismes, je n'aime pas les ya ka faux cons... J'ai voté utile mais sans conviction.

Je regarde également tout ce qui a changé dans ma vie depuis l'arrivée de mon kjaereste et de la puce et je dois avouer que la seule chose qui me manque vraiment sont les voyages à l'étranger et les week end impromptus. J'ai renoncé aux voyages lointains car avec un bout de chou de moins de 3 ans, je trouve cela de peu d'intérêt et puis j'ai peur si il nous arrivait un accident. Je connais les hôpitaux de beaucoup de pays et je ne veux pas que ma fille y soit soignée même si il y a des exceptions partout et des médecins et infirmiers remarquable contre le manque de moyen, il est difficile de faire face.

Cela reviendra surement un jour mais en attendant je dois avouer que les voyages me manquent meme si visiter la France, et les pays voisins, c'est agréable aussi.

J'adore cet auteur. Elle a une écriture tout en finesse. Elle vous fait voyager et elle m'a donné envie de visiter la Sardaigne. Nous devions même y aller à Pâques mais ce fut finalement la Normandie...

Dans ce roman Sarde, il est question d'une famille dont les membres souffrent plus ou moins. L'adaptation à la vie leur parait à tous difficile. Le père est en voyage incessant pour porter secours au tiers monde mais n'arrive pas à aider sa propre famille. La mère est déconnectée de la réalité et souffre d'une grave maladie. Un garçon passionné par le piano mais incapable de communiquer et de se défendre. Une fille, la narratrice engluée dans une relation très sado-maso. Une belle sœur magnifique mais qui n'arrive pas à garder ses fiancés. Un ami qui est là pour les coups durs mais pas pour le quotidien... Et puis à la fin Maria..

L'art de Mme Agus est de nous faire partager cette ambiance familiale, de nous raconter ces personnages sans poncif. Ils deviennent attachants au fur et à mesures.

Si vous ne connaissez pas Milena Agus, je vous conseille de commencer par "battements d'ailes". Si vous connaissez et aimez Agus " Quand le requin dort" ne devrait pas vous décevoir.

"En réalité, nous ne sommes pas la famille Sevilla-Mendoza."

Le thème du jour m'amène à me pencher sur le nom des rues de mon quartier. J'ai appris ainsi l'origine de nombreuses rues de ma ville Et surtout un article intéressant qui explique la volonté d'expliquer qui sont tous les gens cités. Cet article datant de 1827, malheureusement la commission n'a pas du suivre...

Ce thème du 366 me fait aussi me souvenir de toutes les rues où j'ai habité depuis mon premier appartement et je dois avouer que j'ai bien peur d'avoir oublié la plupart de ces noms... Rue du temple, rue St. Isidore, rue Jean Baptiste Carpeaux, Schulz gate, ...

Il y a quelques années de cela, j'ai lu un livre passionnant sur les couleurs de Michel Pastoureau : Bleu.

Le mot du jour m'a fait penser à ce livre. Quelques clics sur internet et je tombe enfin plutôt j'arrive sur ce site qui va vous faire découvrir le rouge d'une toute autre façon. Enfin c'est la façon occidentale puisque la perception des couleurs varient avec le temps mais aussi suivant les couleurs.

Je vous souhaite une bonne lecture et il faudra que je me repenche sur Pastoureau car c'est vraiment bien.

Je ne sais pas :

- quand j'aurais le temps et l'envie de rédiger mes notes sur les 2 livres lus pendant ces vacances normandes : " quand le requin dort" de Milena Agus et "les vaches de Staline" de Sofia Oksanen.

- quel restaurant réservé pour mardi soir pour la soirée avec petite soeur.

- quand trouver le temps d'etudier les Kanji


Par contre je sais que je n'ai pas envie de retourner au travail demain mais il faudra bien...

A bientôt

P I E C E de la maison ou pièce de monnaie

P I E G E à con

L I E G E ou Bruxelle

L I N G E de maison mais pas de monnaie

L A N G E mais bio siou plait

M A N G E bien

M A G E ou sorcière

M A G azine

M A maison

A c'est une pièce particulière...