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16/10/2012

J'ai une famille formidable

Et oui, ce week end, notre puce a passé la nuit chez Mamie et Papi et nous on en a profité pour aller au ciné voir "Dans la maison" de Ozon avec Lucchini. C'est un film qui sort de l'ordinaire. Les acteurs sont doués. Bien sur Lucchini mais aussi et surtout le jeune Claude Garcia. Jeune homme bien sous tout rapport qui va réussir à tromper son monde et une belle opération de manipulation tout en y laissant quelques plumes...


Nous avons également fait un tour de vélo pour aller à la fete de la science à Lyon et plus particulièrement à la Doua au LMA (Laboratoire des Matériaux Avancés) où nous avons appris des tas de choses sur l'optique, le projet Virgo et les miroirs. C'était vraiment intéressant.

Et tout cela pendant que la puce faisait sa première rando dans le Pilat. Et oui à 3 ans et quelques mois elle a fait 5 km à pieds. Bravo à notre puce et à Tatalie, Mamie et Papie.

Aujourd'hui "comme un gosse"



J'ai décidé de reprendre cet exercice quotidien d'écriture. L'automne étant revenue, mes activités extérieures se limitent. L'expression du jour me fait penser à notre puce. Gros chagrin hier. Son Doudou était perdu. Et oui pour une petite fille de trois ans qui va à la maternelle, c'est difficile de ne pas avoir son Doudou. Alors il y a une caisse à Doudou pendant la classe et le fameux Doudou sert pendant la sieste et en cas de gros chagrin. Et voila qu'hier notre puce ne retrouvait pas le doudou. Le chagrin fut à la taille de la perte. Énorme. Et oui, Doudou lapin, c'est celui qui console, qui est là quand la fatigue, l'ennui, la peur n'est pas loin. Alors le perdre c'est un drame. Je n'ai pas assisté à tout cela car j'étais encore au travail mais on m'a raconté.... Finalement ayant un ersatz avec un tour de passe passe, Doudou est revenu... Par contre pas de retour du Doudou 1er aujourd'hui... 

Bref un chagrin comme un gosse, c'est entier, c'est ravageur. Mais ce sont de vraies émotions. 

14/10/2012

Freedom de Jonathan Franzen

Un livre fleuve et qui rencontre un succès important. Les uns aiment, pendant que les autres n'accrochent pas. En ce qui me concerne, je ne sais pas trop. Je l'ai lu avec plaisir mais j'avoue qu'il ne m'a pas laissé un souvenir impérissable. L'ayant lu en septembre, un mois plus tard il ne me laisse que peu de souvenirs. Si ce n'est que cela pourrait être une illustration négative de "la fin justifie les moyens".

Cette saga familiale sur une deux générations est prenante. Les parents qui semblent modèles vont peu à peu devenir des adultes qui perdent leurs illusions et leurs principes. Leurs enfants vont devenir de parfaits exemples de réussite américaine en y laissant quelques plumes mais pas trop surtout le fils qui se trouve être un bel exemple d'égocentrisme avant de devenir une sorte de philanthrope peu crédible.

Dans ce livre il est beaucoup question de valeurs, de la société de consommation, de la nature et de sa préservation (prétexte à tous les abus et tous les coups fumeux). En surfant sur le web, j'ai appris que Franzen était lui même un écologiste convaincu mais que c'était la première fois qu'il abordait ce thème dans son oeuvre. J'ai aimé cette partie sur l'impact du concept d'un mal pour un plus grand bien... mais j'ai moins aimé la fin peut être un peu facile...

Pour vous faire un meilleur avis sur ce livre je vous propose deux critiques qui peuvent vous en dire plus.

Au final, je reste mitigée sur ce livre mais les différentes critiques m'ont données envie de lire Corrections de cet auteur qui m'a l'air melleur que Freedom.

Un avis pour:

http://www.amazon.com/review/R32QIVPORN2TXC/ref=cm_cr_pr_perm?ie=UTF8&ASIN=0374158460&linkCode=&nodeID=&tag=

Un avis contre:

http://www.amazon.com/review/R78S2C2I39R9Y/ref=cm_cr_rdp_perm?ie=UTF8&ASIN=0374158460&linkCode=&nodeID=&tag=

Enfin pour finir la première phrase : "Les nouvelles concernant Walter Berglund ne furent pas découvertes dans un quotidien local - Patty et lui étaient partis pour Washingtown deux ans plus tôt et ils ne signifiaient plus rien pour St Paul - mais la bonne société urbaine de Ramsey Hill n'était pas loyale à sa ville au point de ne pas lire le New York Times."

En tout cas je serais heureuse de savoir ce que vous en avez pensé.