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12/05/2011

"Sur la paupière de mon père" de Sjon.

 Et de trois… toujours en direct de ma terrasse du Lubéron, où le soleil darde ses rayons.
 
Il me reste 2 notes à rédiger… passons un peu de temps en Scandinavie.
 
Sur la paupière de mon père de Sjon. Histoire d’un crime
 
Comme vous l’avez sans doute compris si vous avez lu quelques notes de ce blog, j’ai passé du temps en Norvège et j’aime le monde de la littérature scandinave car il est dépaysant et dévoile un monde imaginaire qui me plait. Ces derniers temps, j’ai beaucoup aimé deux romans Islandais « Entre ciel et terre » et « Rosa Candida ».
 
Aussi ce nouveau roman Islandais m’avait attiré à la bibliothèque. J’avoue que sa lecture m’a interloquée mais je n’ai pas été transportée comme par les deux que je viens de citer. Pourtant il est définitivement Scandinave dans le sens où il n’a ni queue, ni tête et beaucoup d’imagination.
 
Résumer ce livre me parait difficile, voire impossible. Cela commence comme la narration du début non pas du monde mais de l’Islande ; il y est question de géant destructeur, de coq, de folie… Ensuite alterne le récit d’un homme (un juif déporté) qui arrive en Islande et qui fait tout pour s’intégrer dans cette société. Cet homme va rencontrer des personnages très atypiques : un russe, doté d’un membre très différent ; un Noir, espion ; des jumeaux nazis. Cet homme a un secret ; il est chargé d’un enfant qu’il doit mettre au monde grâce à l’alchimie.

Il y a des odeurs de saga scandinave. Je ne suis pas sure d’avoir percé tous les mystères de ce livre. En tout cas, il est très différent de ce que j’ai l’habitude de lire et bien plus déjanté encore que les Paasilina et Murakami que je connais. De retour à Lyon, j’irai voir les avis d’autres lecteurs, je les trouve parfois très éclairants. Si cela devait être le cas, alors je viendrais compléter cette note. En tout cas contrairement aux deux autres auteurs Islandais que j’ai découvert et mentionné au début de cette noté, je n’ai pas envie particulièrement de lire un nouveau livre de Sjon…
 
1ère phrase
Il était une fois un berserkur, aussi appelé guerrier fauve, de si méchante nature qu’il ne supportait nulle créature vivant aux alentours.  
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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